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Marc Cantin Auteur Poète

POÉSIE: J’ai soif de l’envie d’aimer Auteur Marc Cantin

 

J’ai soif de l’envie d’aimer, je Crystal au reflet de ta rive comme un verre d’eau ou or est en deviens image de ton corps je bois la goutte de ton âme sur ma langue qui me donne goût de toi

Je glisse l’eau de mon verre qui coule dans mon corps qui mouille mes lèvres au plaisir de te déguster dans la réalité du temps, tu deviens santé de mon sourire

Aux avoirs de mes souvenirs tes rêves traverse les artères de mon corps, qui en vaines le sang a la mémoire de ton nom et mon ventre gargouille du manque de ta présence ou ma peau deviens sèche, car tu en étais l’oxygène de son gène sans gène je rougi aux velours de tes yeux qui me donnais espoir aux chemins de ma main, je pointe une étoile avec mon doigt pour que le nord de ton être me revienne dans la direction de mon bonheur

Sans lendemain avec toi je dors sans rêves aux couleurs de ma route dans l’arbre de mon âme qui perd l’horizon de ses feuilles, car tu en étais le parfum de sa fleur, dans l’engrain de sa force qui épanouissait le velours de ses pétales, je suis déraciné d’être humain sans la jouissance de tes cries qui dansais comme un animal dans la lune de mes vœux

À l’ombre de ton corps j’avais une œuvre à admirer au tableau de ma vie qui donnait une valeur, a mon cœur, sans le toit de ton toi mon vous est seul a son tu qui en tue ses pleures

Dans l’espoir de mon fruit redonne-moi le croc de ta pomme pour déguster ta chaire dans la peau, qui glisse à la faim de mon appétit le goût dans ma bouche qui papille le repas de ma vie

Si chère au besoin de mon être je te laisse le seuil de mes rêves à toi d’en faire ma réalité dans égo de mon espoir je crois en toi Amour qui en soif le verbe de mes poésies

 

Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-07 23 h 23 min 3 s

 

Mon site perso : http://xp2003.free.fr  

 

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POÉSIE: Les mots sont au texte Auteur Marc Cantin

Les mots sont au texte qui en livre le livre de ma vie dans sa couverture qui en console sont histoire sans temps présent

 

Au son de ces pages tourne le passé de mon être dans la solitude de ces phrases qui en oublie l’être de mon âme

 

Dans la composition de son avoir au temps des lectures j’écris avec la main de la rose pour ne pas oublier les pétales de sa douceur qui s’envole aux vents des oubliés

 

Avec la montagne de mes rêves j’y grave l’amour dans la foret de son cœur, au son de son écho la mer qui me prête son ruisseau pour que la rive me berce au berceau qui enveloppe la tendresse dans la plume de ma poésie, ou l’encre coule a l’eau de ma chair, pour y mouiller la peau de ma jouissance comme un dauphin qui nage dans le destin des humains sans vagues a l’océan, je m’endors au blues de mon arc-en- ciel

 

Seul à l’ombre de mon cœur apparait le fantôme de mes désirs, qui s’assoit sur les fleurs de sa soie, pour y partager les champs des parfums dans les tulipes qui s’épanouissent aux rêves de mon senti aux sentiments de son sang, dans la soif de la vie de son chemin sans route pour y partager ses mains

 

Dans la bibliothèque des Dieux perdus meurt la vierge de mon amour sans ailes aux anges de mes religions qui deviennent corps du pape de ma croix dans les lourdeurs de mes heures qui angoisse le temps du Christ de mes pleures, ou les larmes en restent sans alarmes dans l’autrui de ma demeure

 

Aux champs de la moisson de ma culture qui en fourche les crient de mon espoir au blé de son or je m’envole seul aux cieux de mes rêves pour me soulager de mes souliers aux lacets perdus sans nœud au cordon ombilical, ou mon esprit entends l’enfant en moi qui m’appelle dans la voix de ses rires pour me prendre dans ses bras de ses souvenirs, ou il me prête le nombril de sa vie dans le plasma qui écume la sécurité de ma naissance dans le ventre d’un amour sans texte aux écrits de la parole des jugements qui s'épanouit sur l'enveloppe de mon âme dans les yeux au bleu de l'innocence qui devient invisible sur le regard de la guerre des mots de l’épée de mon roi qui en pointe le placenta de mon cœur au sang du diamant qui brille dans le repos de la couronne de la paix de ma reine ou je m'endors nu comme un chevalier aux chants de sa harpe qui en corde mon corps aux sentiments de sa douceur.

 

Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-13 19 h 7 min 11 s

 

Recherche éditeur marccantin@vidéotron.ca

 

Mon site perso : http://xp2003.free.fr  

 

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POÉSIE: La guerre des gazes sans horizons Auteur Marc Cantin

La guerre des gazes sans horizons aux pas des silences qui en décomposent les corps sans balles a mon gouvernement aux pieds des drapeaux sans liberté à l'étoile des sentiments.

Chemins sans jambes aux fusils qui en perdent l’étoilent de leurs libertés, où résonnent les crient des pleurs sans échos aux cœurs perdus dans le sable sans balances aux ignorants des jugements des politiques dans les croix des religions

Dans l'air du temps aux bottes qui en tracent la senteur du pétrole de leurs pas dans l'empreinte des chemins des âmes perdues aux masques de leurs cauchemars, qui en brulent les yeux de leurs horizons

Dans l’illusion de leurs photos qui frotte leurs fusils dans la brillance de leurs nuits camouflées comme un voleur qui attend la lueur de son tueur aux sons des viols de leurs sœurs

Aux nuits des eaux, coulent le sang des chagrins perdus aux échos des montagnes sans vagues à la mer de leurs enfances aux souvenirs des saints perdus

Dans la mire qui en tue l’Être de son ombre, les routes deviendront efemaires dans les champs des fleurs aux cultures des pilules des effets secondaires dans les cauchemars des émotions de leurs mères, sans pères aux pleurs de leurs balles

Dans leurs camouflages des racines au sol de leurs frères en oublient l’humain de leurs cœurs dans les rages qui partagent l’animal sans nom, à la liberté de leurs enfants qui crèvent dans les moissons de leurs bombes

Souffrances qui brillent aux étoiles des voeux sans mérites aux grades de leurs saluts aux grades des corbeaux de leurs lieutenants aux ordres des habits sans frontières aux couleurs de leurs pays dans la langue sans respect pour leurs terres dans l'écho de la pandémie des innocents  qui couleront aux ruisseaux sans rives dans la couleur rouge de leurs libertés sans paix dans la fierté de leurs saluts, ou or de leurs argents sans valeurs des récoltes aux blés de leurs ors des humains à la fosse des chemins

Route des esprits des zombies dans la puanteur des morts dans les sommeils aux corps en décomposition sans choix de liberté des pauvres qui en reste sourde aux mains des symboles.

Aux chemins de la balle de Juda, sans avertissement au dos des silences de la mort en reprend la racine de l'humain sans enveloppe au timbre de la vie dans l'or des corps dénudés.

Sans paroles s'envole la bête du courage qui brille encore dans la lumière de l'esprit qui tremble en travers les chaines de la prison son être.

Aux sons des os les fantômes en deviennent des humains oubliés, sans justices aux frères de leurs de pain, dans des larmes sans semences au respect de la vie

À la croix rouge de mon cœur, je te laisse une balle blanche au son de la liberté sans blessures au soleil qui réchauffe les souvenirs de ma main ou se repose la paix de l'amitié

Droit auteur composé par Marc Cantin 2008-01-18 5 h 41 min 47 s

Recherche éditeur marccantin@vidéotron.ca

Mon site http://xp2003.free.fr

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POÉSIE: La solitude Auteur Marc Cantin

La solitude est, un crie, sans échos à la montagne ou les fleurs deviennent vents sans parfums aux saisons du temps

La solitude est un soleil au gaz qui brule l’espoir la vie sans horizon au foret de sa lune

La solitude est une main sans doigts, sans direction au majeur de son cœur

La solitude est une peau ou la chaire de ses battements devient frisson au sang  de ses os

La solitude est un verbe qui se compose au futur de son passé, dans l’oublie de ses écrits

La solitude est un corps ou la larme devient pleurs sans heures à son temps

La solitude est une jambe sans pied à son chemin ou la route en devient roche à ses mains

La solitude est une rage qui nait au son de l’angoisse, dans les jugements aux phrases qui en partagent ses conjugaisons, seul sans mots à son livre de sa vie, qui tourne les pages de son temps

La solitude est une étoile naine au vœu d'une galaxie dans l'oublie de son sonar

La solitude est un enfant aux yeux de Dieu, qui s’enveloppent dans le fœtus sans souvenir au sein de la vierge, ou résonne la mémoire du bonheur de sa mère, au sol de son père, sans sourire aux lèvres qui en bouche le baiser de son bien

La solitude est une musique, sans notes à son harmonie, ou les danses deviennent des slows, qui entrelacent le miroir de son être sur le plancher de ses souffrances, au  mur de son martyr, sans paroles aux souliers de ses souvenirs

La solitude est un soldat sans drapeau à la liberté de sa terre, ou la vision en reste seule à son fusil, qui sans nuit a l'ombre de ces balles, dans les cillements des bombes qui en guide la mort aux sommeils des photos dans l’angoisse de ses pixels, aux couleurs d’or, dans les chemins qui en traces les empreintes des angoisses de la folie, dans les envies des peurs, ou tremble le bonheur dans l’arme de sa liberté sans famille a la route qui en vagues les cauchemars de ses nuits

La solitude est le sage de la vieillisse, qui en oublie la mémoire de sa jeunesse

La solitude est la carte du joker, sans as à sa table, ou des invités deviennent ombres à la chaise de son jeu

La solitude est un cocon, sans épanouissement à son papillon, qui vole sans ailes à son ciel

La solitude est une terre, sans jardin à sa récolte, qui en nourrit l’envie de l’arbre de son fruit des souvenirs sans semence à ses récoltes

La solitude est l’amour, sans partage aux échos de son corps, qui en blesse les sentiments de son être aimé, ou brule l’avoir dans son reflet au désespoir qui en perd l'espoir du diamant de son cœur

La solitude est une itinérance sans chemins, au don des gens qui en cultivent les trottoirs de son toit, dans la senteur de son goudron, sans neiges gel son l'hiver de ses saisons aux printemps des vents de ses feuilles qui deviennent l’arbre de sa racine, perdue dans l'écorce de ses cultures au mal de l'arthrite de ses mains qui en perdent le collage de son jour qui réchauffe l'esprit de son jour, sans mains aux doigts de son gobelet, vide a la pauvreté de sa rue sans foyer la buche qui en réchauffe l’argent de sa liberté

La solitude de l'amour est une frontière de la détresse, qui en appelle la décomposition de son âme au senti des pleurs, seul à l'arme de son âme

La solitude dort seule sans âmes sur peau qui réchauffe la confiance de ses mains. Entrelacées dans l'ombre de ses draps qui recouvrent l'enfant de sa moisson dans les vagues de sa mer, qui s'endort dans l'espoir de son imaginaire, perdu dans les réconforts dans sa position, qui en plisse les sirènes de ses souvenirs, sans jouissances dans l’oublie de son lit. Naissent les fantômes qui s'entrecroisent dans la mémoire du cerveau sans repos dans les chemins aux évasions de ses rêves d'or dans le médium qui guident l'astral de ces lunes qui éclairent les vœux, ou naissent les esprits des désirs dans l’arc-en-ciel aux couleurs de l'artiste qui en peint la toile de son cœur dans l'évasion de sa création au seuil de son tableau qui en cadre la toile au mur des Lamentations sans paroles de sa demeure dans la liberté de ses valeurs

Droit auteur composé par Marc Cantin 2008-01-23 3 h 37 min 42 s

Recherche éditeur marccantin@videotron.ca

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POÉSIE: Mon corps est assis dans une valise Auteur Marc Cantin

Mon corps est assis dans une valise ou le voyage deviens éternel aux larmes de ma pognée

 

Dans un ciel, ou pleures les jugements de l’ignorance, vole au-dessus des nuages la bêtise de l’homme, sans ombres a sa lune, ou gronde le tonnerre du mal, dans la pluie qui coule sur la terre des morts, sans croix a la surdose du destin qui en reste le festin de l’envie, sans doses aux bras de sa sereine, les crient des illusions embrouille sa guerre aux croix de sa liberté, dans sa vision du phénomène l’endorphine de mon bien qui en perd ses couleurs dans la paix qui m’endort au sein de ma mère

 

Aux  gris de mon sol, les volcans en déracinent l’arbre de mes écrits de mon père, dans les laves de mon sommeil qui envahit le sang de mon cœur, sans souvenir aux reliefs terrestres de mon enfance

 

La chaleur de ma terre me parle aux nuits de mon cocon, qui brûle l’enveloppe de ses rêves, aux cendres de ses désirs, a la main sans boussole au nord de mon amour je reste seul a mon rocher, dans la froideur de son glaive comme une l'épée Celtibère qui attend la puissance, pour y couvrir ses blessures dans la cape de son Dieu

 

Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-01 4 h 25 min 13 s

 

Recherche éditeur marccantin@videotron.ca

 

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