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Marc Cantin Auteur Poète

PO 20 : Juin 2014 Je pleure souvent en noir et blanc,. Composé par Marc Cantin Montréal, Qc

Po 228 : marccantin.com 

Je pleure souvent en noir et blanc, pour mieux y séparer la couleur du mal sur le plancher de mon ombre et à genoux devant les reflets de mes larmes, je dépose la vérité de mon cœur dans le miroir de mes sentiments pour mieux y voir dans la profondeur le pardon de mon verbe aimer, car l'heure de mon bonheur s'est figé sur le minuit de ma solitude et ainsi comme un poète je recherche la valeur de mes mots sur une page blanche, pour sentir que je t'aime encore.

Dans une chambre invisible je me berce de l'espoir de la correspondance de ma foi, pour mieux ressentir l'ombrage de ma guérison, car ma chair s'est déchirée entre quatre murs et dans le noir avec les mains de mon honneur, je recherche sur la table du pauvre mon rêve, parce-que la poussière à mélangé mes désirs dans une fenêtre sans reflets et mon bonheur s'est figé dans un visage de peur, qui embrouille les sourires de mon enfance sur un nez de clown.

 

Ma mémoire me fait mal quand je pense aux souvenirs de mes nuits et comme un animal sous un arbre, je me réchauffe de mes hurlements dans monde daltonien, car ma semence à été jugée avant de naître sur la nature de mon viol et en silence dans un coin, seul avec la racine de ma récolte, je compte les empreintes de mes douleurs, pour mieux y comprendre le pourquoi du vertige de mes peurs et avec la réalité de mes cris, j'écoute dans le passage des milles pas le frisson de ma voix, car mon corps s'est égaré dans la boussole de son amour et mon esprit cherche le pouvoir de sa guérison, pour mieux soulager mon sourire.

 

La porte de mon garde-robe ces fermé sur une photo de famille et dans la noirceur je cherche mon identité, car on ma volé l'album de mes rires sur le paysage de mon bonheur et mes cheveux gris sont devenus une histoire de faits vécu, sur une table d'amitié.

 

Les souffrances sont souvent invisibles sur les jouets de mon enfance et avec l'heure de mon temps, je recherche le midi de courage pour oublier les rendez-vous de mon enfer, car j'ai vécu au nu de ma vie le rejet de l'amour, dans des ruelles sans noms et sous des boites de cartons j'ai gelé mes émotions, pour mieux protéger le manteau de ma poésie, car j'ai crû que je pouvais réchauffer l'amour même si je suis devenu un itinérant.

Depuis que j'ai aimé, je sais que l'enfer existe sur la terre, car j'y ai senti la vie de mon cœur brûler sur des pages blanches et la vérité de mon verbe est devenu invisible, pour la signature de l'amour.

 

Les vents ont souvent mélangés mes mots, sur des feuilles de Printemps et dans l'ombre que j'y ai déposé la plume de l'Été de mon âme, sur un mémo d'Hiver déchiré par des S.O.S de pourquoi, car à l'Automne je ne comprend pas la langue de mes larmes dans le livre de mon conte de fées, car je voudrais écrire le pardon avec la lumière des étoiles juste pour donner le don du désir sur un vœu d'amour.

 

Bouteille à la mer, s.v.p laisse-moi aimer encore, car je voudrais revivre ma vie et redevenir libre de pourvoir rêver encore de toi et de nous, car tu as été un ange pour moi dans le silence de ma lune et le soleil de mes jours, avec ta chaleur prête-moi ton cœur pour que j'écoute vivre la profondeur tes sentiments sur mon corps animal.

 

Droits d'auteur composés par Marc Cantin Montréal, Qc * 2014-05-29 * 14 : 21 PM

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PO 12 : AVril 2014 : Dans l'identité des mes larmes,. FAITS VÉCU ET POÉSIES, UNIQUES ® © Marc Cantin

Droits d'auteur composés par Marc Cantin Montréal,

PO 07 Fev 2014 marccantin.com 

Dans l'identité des mes larmes, je retrouve les souvenirs de ma jeunesse qui hante le temps présent de mon sourire sur le miroir de mes cris et avec la parole de la foi de ma vérité, j'écoute résonner le nu de ma voix, car je ne comprends plus la langue de la valeur de mon être et autour de moi, je cherche sur des pages blanches des points d’interrogations de ma solitude sur des temps bipolaire, car l'amour s'est enfuit dans un désert sans y laisser aucunes traces pour voir mon espoir et sans aucuns mots, un jour, je suis devenu une poussière oubliée sur un chagrin disparu par des saisons animal.

Je suis souvent assis avec les mains de ma pauvreté, car j'entends chaque jour mon ventre hurler de faim sur des saisons de désirs et en ligne avec le numéro de la honte coller au dos du chandail déchiré par les faits vécus de mes souliers qui sonts troués par les blessures de l’intimidation de ma pauvreté, j'avance vers la porte de mon jugement avec une poignée de change, pour me payer un petit moment d'espoir avec de la nourriture passée date car la société à jugé l'éducation de mon code barre avec un doigt de symbolisme politique et la ruelle de mon savoir y est devenue un refuge, pour soulager la création mon cœur, car j'ai voulu être aimé comme une vedette avec la plume de Dieu, mais hélas les graffitis ont disparus à cause de l’ignorance sur une plume d'ange et sans aucuns mots, j'ai pardonné avec le don de la foi, car je ne suis qu' un humain devant la misère du monde et la profondeur des vœux appartient à des étoiles inconnues pour mon savoir.

Je me demande pourquoi que le verbe aimer est facile à lire mais dur à comprendre, car ma mémoire se souvient des fautes sur des temps recomposé par l'imparfait de son sujet et au futur, j'essaie de voir le sens de son histoire pour y apprendre le présent de sa valeur, car j'ai manqué de temps impératif pour y écrire mon erreur et dans une chambre noire,ma chandelle a brûlée sa poésie sur une lettre invisible.

J'ai si mal à mon vingt-quatres heures que mon minuit s'est brisé dans le cadran de mon conte de fée et avec le courage j'ai avancer soixante minutes de mon temps pour y revoir vivre mes émotions sur des rendez-vous de nom propre, car mon six heure est devenu enfer sur la table de chevet et dans le passage de mon neuf heures ou marche mes peurs, je dépose les aiguilles de ma destinée pour croire en la fusion du hasard des moments magiques et y mettre au pied de ma porte, une fleur, pour ressentir que je suis libre de mes souffrances

Droits d'auteur composés par Marc Cantin Montréal, Qc * 2014-03-29 * 17 : 54 PM

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POésie UNIque 73 2011 Je suis stone dans le cortex du texte par Marc Cantin point com Montreal Qc

 
Je suis stone dans le cortex du texte de mon cœur et sans corps à la signature de mon esprit, je regarde l’ invisible de l’ encre de mes maux qui coulent sur le doigt de mon histoire pour ressentir la couleur de du gène de ma création . Sans forme à la virgule de mon infini, je fusionne les sujets de mes cris pour écrire sur la chair de l’ alphabet de mes ombres qui hantises les consonnes de l’avoir de mes silences et sans faute aux voyelles de mon intérieur, je visualise les fautes de ma langue sur la feuille de ma solitude pour essayer de comprendre le paragraphe son jugement. Je respire l’ air de l’oxygène de ma voix pour écouter la nature du chant de l’ entre-temps des maladies de mon cancer et devant le miroir des anticorps de mes reflets, je me mets à genoux pour voir la profondeur de la guérison de ma lumière. Assis avec les murs de mes souffrances, je vois dans le centre des ruelles, les saisons de la pauvreté qui marchent avec l’ hiver de ma vie et avec le temps sans printemps se forme sur les briques des tatouages de mes automnes le sol de mon itinérance oubliée dans la pierre des pleurs de mes désirs. Sur une toile blanche, je prend un pinceau avec la main qui tient les couleur de la froideur de ma création et de l’ autre main, j’ imagine l’ amour dans l’ invisible du cadre de ses valeurs. L’ invisible de mes larmes coulent sur le dos de mes châtiments et dans les couches ma peau se trouvent l’avoir des cicatrices des pardons de ma liberté. Je veux être libre de ma conscience pour devenir la science d’ un vœu de paix et voir son infini. La terre tremble au Sud de ma vieillesse et sans racine au Nord de la mémoire de ma jeunesse, je marche avec le présent de ma destinée pour retrouver la boussole de ma survie. Nu dans l’ enveloppe de mon anticorps et sans correspondance pour l’ adresse de mon écoute, j’ écris une lettre en braille pour lire la reliure de mon cœur. Je parle avec la vérité de ma croix pour me souvenir de l’ espoir ma foi car mon émoi brûle les cendres de ma religion et sans trace, je disparais dans le doute de mon courage, pour renaître dans le passage de la bible de mon Dieu. Droits d’ auteur composés par Marc Cantin Enr. Montréal, Qc 2011-03-20 17:24:10 Infos + http://www.marccantin.com Recherche un éditeur marccantin@videotron.ca

 

POésie UNIque 72 2011 Je crie, je crie à l’aide dans l’enfer par Marc Cantin point com Montreal Qc

 
Je crie, je crie à l’aide dans l’enfer de mon corps qui danse avec les silences de mes souffrances et les maux de mes mots perdus dans le Confucius de mon gêne, je me sens comme un cellulaire d’une maladie d’être car mon avoir est prisonnier de la parole de mes larmes. J’ai tellement mal à mes os que la solitude de ma guérison tue l’anticorps de mon Christ et sans la foi, je touche dans la chair de ma peau la raison de ma vie qui coule sur le senti du clonage de mon espoir et sans bactérie, je me fusionne dans l’inconscience de la lumière pour guérir mon courage. Seul avec le seuil de mes blessures, je regarde les murs de mon envie pour écrire l’histoire de mon toit qui contient l’invisible de la mémoire de mon horizon. Je suis qu’un temporel de mon imaginaire qui voyage dans l’astrologie des tunnels extra-terrestres aux symboles de ma voie lactée et dans le sommeil de mon inconscience, je prend naissance sur la destinée de ma forme pour n’être que le corpus d’une étoile oubliée dans l’astre de ses vœux. Je rêve d’oxygène pour respirer le courant d’air de mes sentiments et sans cauchemar, je me tourne vers la survie de mon visage pour voir le sourire de mon cœur. Est-ce que j’ai le droit à un Amen dans les péchés de ma liberté car je sens la religion de mes pages devenir un doute de foi dans la parole de la croix de mon Dieu et dans l’anonymat de mon âme, je deviens sans voix pour l’itinérance de mes pardons. Ma terre est bombardée de bombes humaines qui brûlent la racine de mon solage et sans fleur à la graine de ma survie, je me décompose en silence avec le vent de la profondeur de l’inconnu de ma nature pour me reposer de la vieillesse de mon corps. Je suis l’infini du trou noir de la réflexion de ma création car je suis la réincarnation du passage de mon de mon jugement qui contient l’atome du désir de ma vie. Droits d’auteur composés par Marc Cantin Montréal, Qc 2011-03-06 22:49:23 Infos + http://www.marccantin.com Recherche un éditeur : Plus de 1000 poèmes que j'ai composé en 20 ans. marccantin@videotron.ca

 

POésie UNIque 71 2011 Aux pieds de mes pas par Marc Cantin point com Montreal Qc

 
Aux pieds de mes pas, je regarde le sujet de la profondeur de mon sol pour ressentir l’ invisible des courants d’ air de l’astre de mon corps et dans les saisons de la nature de ma bête, je marche avec les hurlements de ma foi pour écouter l’écho du vent de mon esprit. Sans hôte pour croire en mon âme, je m’ endors sans couleur sur l’ empreinte de la photo de mon horizon et sans visage aux reflets de l’oubli de mon identité, je visualise le temporel de la poussière de l’amour. Dans l’ombre de mon dos, je sens les jugements des tatouages de mon art et dans la création de mon évasion, je dessine l’avoir de l’ imaginaire de mon être pour être libre dans l’ombre de ma lumière. Je suis un corps nu qui vit le cancer de son cœur et aux pouls des maladies de l’anticorps de mon imaginaire, se trouve la profondeur de la forme ma guérison car je suis la voie lactée de ma destinée. Hantise des peurs qui me regarde avec l’oeil de Juda aux doutes des religions et sans bible aux mots de mes ombrages, je sens l’éveil de l’itinérance de ma voie qui contient la folie de mon acceptation. J’entre dans le miroir de la dimension de ma solitude pour voir le tunnel de mes rêves et dans le vide de mon vertige, je sens l’infini de mes désirs perdus dans la galaxie de mes larmes. Assis seul avec la réflexion des nuits de mon média, je dessine sur une pierre l’inconnu de la signature de la mémoire de mon le ciel pour ressentir l’encre de mon vœu. Dans la main qui contient les lignes de la croix de mes blessures, je touche dans ma paume les cicatrices des souvenirs de ma jeunesse et entre mes doigts, je sens le présent de la chair de ma vieillesse qui entrelace l’index de mes pardons . Je me couche sur le pouls de ma vie pour m’endormir avec l’éveil de mon destin et dans l’inconscience de la science de mon gêne, je voyage avec l’astrologie de mon éveil, pour fusionner l’atome de ma liberté. Je tiens l’enveloppe de la correspondance de mes pleurs et sans texte aux paraboles de ma correspondance, je lis entre les paragraphes les fautes de mes larmes pour corriger les consonnes de mes maux. Droits d’auteur composés par Marc Cantin Enr. Montréal, Qc 2011-03-04 23:36:52 Infos + http://www.marccantin.com Recherche un éditeur : Plus de 1000 poèmes que j'ai composé en 20 ans. marccantin@videotron.ca

 

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