Marc Cantin Auteur Poète
POÉSIE: Le hasard Auteur Marc Cantin
Le hasard c’est un chemin qui devient route du destin dans son avoir de son écoute, ou vents des saisons frissonnent le temps qui voyage dans un ciel de vœux assis sur la lune de ton envie qui brille dans le silence de ton sommeil aux vœux de ton soleil qui deviendra ton éveil de ton cœur dans les échos de tes sentiments qui formeront le vouloir de tes désirs.
Sans pleur à la racine de ton corps naitra les rires de ton bien-être dans l’être de ton esprit qui en sera force dans la vision de ta chair dans le regard de ton horizon aux yeux de ta passion qui coule sur le ruisseau de ton or.
Dans les valeurs de ta montagne tu seras guide de ta culture qui semence la foi de ton toi au je de ta faim qui nourrit le sol ta vie dans les champs qui sans trace dans l’empreinte de tes pas.
Aux mains de ton corps s’épanouira la pointe de tes doigts dans l’ombre de ta gratitude qui s’entrelace dans l’altitude de l’oxygène de ton gène ou respire le bonheur de tes rêves dans l’astre de ton âme qui deviendra humaine de ton sentier au temps des galaxies qui résonne la conscience de ta science dans le respect de ta beauté aux reflets de ton miroir tu y verras ton pouvoir dans les mémoires de ton écrit sans cries à la jouissance de ton verbe, tu en seras vierge de ton hasard.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin enr. Montréal, 2008-02-24 11 h 2 min 39 s
Recherche éditeur marccantin@videotron.ca
Site perso http://xp2003.free.fr
- Commentaires textes : Écrire
POÉSIE: La jouissance des temps Auteur Marc Cantin
La jouissance des temps sans cries deviens paroles a la bouche de mes mots, ou en forme ton nom qui en grave les heures sur les verbes de ta conjugaison, dans l’horizon nait les langues de l’amour qui s’entrelace au pays des mers dans le sonar des échos ou nagent les dauphins dans un reflet des lunes pour ne pas oublier le vœu de ton désir, qui devient ma terre dans l’ombre de son ciel.
Au regard des étoiles qui frissonne les vents de ma chair je deviens saisons de ton nom, sans heures je m’endors sur la côte de ton corps pour me souvenir de ton nord qui en guide la composition de mon être ou fusionne l’Ève dans l’Adam de mon péché pour y sentir le velours de ta peau qui ce glisse dans la danse de la pluie, ou je rêve de me mouiller dans la goutte de tes lèvres qui embrassent le chemin de ta main.
Au jour des guerres tu en seras ma bombe de ma paix, dans la route qui en trace-les pas de ma liberté au senti de mon fusil, ou tu deviens la balle de mon cœur qui s’enveloppera dans l’âme de ma mort aux cillements du silence de la gravure de ton amour. Dans les souvenirs des larmes perdues coulent ta beauté en moi qui réchauffe le soleil de ma tombe dans la racine de mon arbre, ou tu resteras la fleur de mon bien-être au parfum de mon sol.
Sans toi ma maison devient un foyer sans bûches qui perd le romantisme de son feu, sans chaleur au nu de ton corps mon solage brûle dans la fondation de sa force, aux sentiments de sa fenêtre tu es valeurs de son miroir dans l’astre aux yeux de mon étoile.
Aux druides des Dieux tu es la vierge de ma religion, sans pages aux livres de mes écrits sur la poésie des poètes, aux maux des douleurs tu deviens la paume des ces mots qui adoucie les malheurs de mon texte dans les phrases qui en décomposent l’humain que je suis.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin Enr. Montréal, 2008-02-18 0 h 49 min 56 s
Recherche éditeur marccantin@videotron.ca
Site perso http://xp2003.free.fr
- Commentaires textes : Écrire
POÉSIE: Tonnerre sans éclair Auteur Marc Cantin
Tonnerre sans éclair, nu au ciel de sa misère, dans le silence de ma tête ou voyage les planètes aux destins des hasards, sans galaxie aux lits de mes rêves, s’envole la chaine de ma liberté, sans peau aux étoiles de la naine de mon cœur.
Dans l’ile de ma solitude, sans âme aux verbes qui décompose les crient de son amour, la conjugaison de mes fautes en frappe la nature de mon texte qui envahit ma poésie dans l’ombre de mon corps. Sans enveloppe astrale, mon réconfort s’endort dans le désespoir de ses larmes, ou coule les ruisseaux des martyres s’en eaux a l’or qui en brille ma croix dans une montagne sans échos, seul au je de la terre mon temps passe sans destin, comme un ami sans vie.
Dans l’oxygène je deviens bouche sans baiser aux lèvres qui en forme le mot je t’aime.
Au seuil de ces jouissances, mon corps en perd le doigt de sa direction sans nord à l’étoile de ses désirs. Dans l’épanouissement de ces rives qui en chaines les vaines de mon cœur, au sang de ma peau, ou résonne sans échos les rochers de sa mer, sans souvenirs aux maux qui en berce les caresses de son bien, sans mains a la peau de la douceur naissent les cauchemars de son envie, qui tourne mon corps dans les frissons de l’oubli. Sans velours aux tombeaux des vents, sans saisons à l’air de l’arbre qui en racine mon esprit, ma peau se déchire à l’os de son Dieu.
Dans la pluie danse mon courage aux son de mes pas, qui s’en soufflent aux gouttes de mes pleures, ou forment le cratère de mon chemin, s’en route dans la boue de ma mémoire naissent les branches sans feuilles aux neurones qui deviennent acides au sol de mes atomes. Sans senti aux parfums d’une fleur la tige de ma vie devient cellule sans évasions, ou ce tient les barreaux de mon soleil qui brule la lune dans ma paix dans la vision de ces vœux, sans battements de paroles, sans écrits aux partages de sa faim, meurent l’encre de ma plume qui en grave mon mur, sans lumière dans l’ombre de ces caresses.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin Er. Montréal,
2008-02-08 2 h 22 min 19 s
Recherche éditeur marccantin@videotron.ca
Site perso http://xp2003.free.fr
- Commentaires textes : Écrire
POÉSIE: Le crayon de mes mots Auteur Marc Cantin
Le crayon de mes mots glisse aux sons de mon texte sans verbes aux phares de ma vie.
Dans les échos de ses pages se glisse l’auteur de ma couverture sans fin à son histoire dans les paroles du silence qui balance les pensées des jugements des mots sans texte aux pages de l’écho de ces conjugaisons, aux verbes des cultures d’un temps oublié qui en forme le roman de son cœur.
Aux yeux des lecteurs nait l'histoire des chemins des étoiles aux écrits des mémoires qui s’endorment dans les nuits des vœux pour y former l’espoir d’une langue sans temps aux goûts des fleurs dans la solitude de sa lecture qui envahit son corps dans l’astre de son roman.
Assis sur la route qui en forme les chemins aux rêves des châteaux dans les lectures de son imaginaire ou volent les anges dans le royaume des cieux qui en trace l'étoile de ses saisons aux souvenirs sans nuages sur les baisers de sa chair qui éclair les diamants dans la lune de son temps.
Dans l’ombre de son corps ou les forêts sans branches aux chants des racines dans les saisons des tempêtes ou coule les ruisseaux de son or aux feuilles de ses saisons dans les silences de ses heures qui en guide la jouissance de sa rose aux désirs qui envahit le parfum de son temps dans l'horizon sans jours de ses nuits qui embrouille les lignes de sa vie.
Aux doigts de sa poésie dans les chemins de l'écriture de son texte qui en décompose les pages de ses mots dans la chaleur du soleil de sa liberté qui deviendra bulle de son air dans le chagrin des intrigues du cadran de son réveil.
Couché dans les draps de son lit qui enveloppe le blizzard de la brume dans les plis de l'éveil d'une étoile s’épanouit l’amour au pied du verbe de sa montagne qui en forme l’emprunte de son chemin au chevet du nord de sa boussole.
Dans l’esprit ou récolte les semences de son jardin qui en devient cultures de sa lecture dans l’avoir d’un appétit sans fin aux repas de sa table s’ouvre la fenêtre de son hôte qui attend l’invité de son fruit dans le vent de son bonheur au foyer sans buche qui réchauffe le corps de son âme qui s’embraye dans pétillement son être entrelacé au je de son texte.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-11 23 h 27 min 13 s
Mon site perso : http://xp2003.free.fr
- Commentaires textes : Écrire
POÉSIE: La larme coule en silence Auteur Marc Cantin
La larme coule en silence dans les émotions de mes maux de mes rires qui transperce la rive de mon corps sur la peau qui en frissonne mes sentiments ou coule la chair de mes souvenirs, aux sons de son angoisse
Je pleure aux silences de mon cœur dans le battement de sa vie, qui m’appelle vers la mort de ma fleur aux parfums des vents, où je demeure invisible dans la peine de son champ dans le blé de mes saisons perdue, je m’envole aux désirs des anges sans ailes aux chaines de mes pieds, ou je marche dans les nuages dans l’atome de mon âme
Dans l’endorphine de son bien je m’endors dans le sommeil de mon temps, ou je me réchauffe aux rêves de mon espoir sans échos a ma solitude dans la caverne de mon je, qui en grave les hiéroglyphes de ma mémoire comme un parchemin sans écrits a mon temps
Aux pierres des pyramides dans le Dieu de Shou, je reste à genou aux ruisseaux de mes échos qui attendent la mer de sa liberté vers le père de son ciel dans la terre de son chagrin ou en récoltes l’engrain de sa racine seul à la fourche de ma route les esprits en cultivent les peurs aux cratères de mes mains, sans lendemain au levé de son pain je bois sans bouteilles au vin pour en dégustes la joie de son amitié qui me colle au palais de mon roi, dans l’or de sa couronne aux épines de lys pour y protéger mon amour perdu au sang de Graal, Lucifer en partage mon dos dans la cote d’Adam, aux voix des ignorants les jugements me volent l’émeraude de mon cœur
Aux souvenirs de Ève je reste la pomme de son pécher comme un pêcheur qui vois le reflet de sa faim sans famille aux photos qui en mur le cadre de sa survie, ou brûle le feu de mes pixels qui en consume le gaz de mon être, sans effet de serre disparait la zone de mon amour dans les noirceurs de mes nuits ou brilleront les étoiles dans les noms des sans aimer aux forment des visages l’innocence en traine leurs voix dans les croix aux vœux des miracles
À l’ombre des apôtres je voudrais être hôte au Christ de ta religion pour sentir la paix d’un chemin dans les parchemins ou tourne les pages qui en partagent la coupe de ton calice
J’épanouis mes bras aux crient de ton salut sur le bonheur de l’amour, au senti des montages, je te laisse la poésie dans l’écho de mes mots aux textes de la douceur de mes écrits, pour y graver avec tendresses ton nom à mes heures sans cadran au temps du verbe, aimer.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-05 3 h 58 min 22 s
Mon site perso : http://xp2003.free.fr
- Commentaires textes : Écrire