Marc Cantin Auteur Poète
POÉSIE: Je suis le sourd de mes mots Auteur Marc Cantin
Je suis le sourd de mes mots, sans texte aux paroles de mes écrits, qui deviennent, âme de ma bouche au muet que je suis, couché dans l'ombre de mon moi, mon, je me suis dans le lit du guide de mes rêves, où l'esprit me parle du mal de l’oubli et l'enfer me jase dans l'ouïe du fœtus.
Au plasma de mon ADN se berce les combats du battement de l'être de mon cœur, qui discute avec l'équilibre de ma douceur dans une main de malheur, ou pleure ma survie qui envie ma vie dans les sentiments de mon senti.
À la merci de mon rêve l'enfance de mon bien deviens eau de ma soif qui traverse le temps de mon jugement, où vague la rive qui enivre l'illusion du jugement qui brûle le seuil de l'ombre de ma solitude.
Naissance aux formes de mon texte, poésie cachée nait dans l'écoute de la froideur, ou se glisse les vents de mon guide qui s’enterre les saisons dans un temps emprunté au printemps de mon espoir qui avertit le gel de l'hiver de ma peur, et dans une écoute de printemps coulera la feuille du courant de l'espoir de mon verbe.
Peau qui arrache le senti de l'eau de ma vie, été qui traverse mon ruisseau entrave la chaleur de mon esprit au moi de mon ouïe, autonome sans racine à la terre de mes pas, et routes de cousins de mes mains sans signe de ma génération, sans père à l'ignorance de l'ombre, se cache derrière la porte de ma fierté le passé aux photos sans cadre où meurt le pixel de ma larme.
Je suis invisible de l'âme qui frissonne l'esprit du cœur pour naitre qu'un passage dans un corps d'histoires, où tournent les pages des souffrances dans un texte de liberté qui en compose l'animal aux livres de mon chevet sans lampe pour éclairer le souvenir.
Humain de bête qui guide l'équilibre de mon avoir, arthrite aux doigts de mon chemin qui en forme routes dans mes souliers sans racine les pas de mes sentiments, où résonne mes hurlements au son du tonnerre qui éclaire le ciel dans une l'étoile de lune, pour en faire un vœu.
Perdu au milieu de mon être ou dort le sein de ma mère dans l'écho de l'arc-en-ciel de mon enfance, solitude tue le temps ma culture où coulent les veines de mon amitié qui consume l'oxygène de la croix de ma liberté, d'être.
Au senti de mon sang, couleur mauve coule dans une conjugaison sans fin à mon écrit, assis sur le bord ma route dans un chagrin sans vitesse, aux reflets de mon ruisseau mon corps devient miroir de danse sans avoir au pain de sa table où sommeille l'appétit de dire je t'aime à quelqu'un dont la poésie emporte son nom dans l'imaginaire du désir qui caresse la passion de deux êtres.
Toi inconnu de mon bonheur au féminin de la clé de mon cœur entrelace moi dans la fusion du temps, pour y sentir ta galaxie, entré en moi et ondes en deviendront lumières d'une étoile pour embrasser l'infini de ton signe dans l'astre d'un baiser.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin Montréal, 20/03/2008 3 h 16 min 19 s
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POÉSIE: L’ange de mon âme Auteur : Marc Cantin
L’ange de mon âme est une ombre de mon cœur qui hante le vouloir de mon temps dans les atomes de mon avoir ou mon être devient astre de mon guide qui enveloppe mon corps aux mains d’or.
Sans racines je prends forme de ma naissance aux crient de l’enfant en moi pour devenir une route du senti de la vie, aux pleures d’argent je m’épanoui aux sentiments de l’humain dans les chemins d’une terre qui en récoltes les vœux de mon cœur.
Dans les écrits des pages, les mots naissent aux paroles de mon Dieu qui en partagent la foi de mon verbe aimé.
Aux courages de mes os frissonnes dans la chair de ma peau les virus de mes maux, qui sans livres aux vouloirs des couloirs sans couleurs au temps des oubliés.
Sans crient de paroles brûle le soleil de mes nuits qui s’épanouit dans la tige de ma fleur, ou parfums deviens saisons de ma lune aux feuilles de mes branches qui s’entrecroise dans la solitude qui bourdonne dans les champs de mes échos, ou résonne l’horizon de ma montagne qui soulève les vents de ma boussole, sans lueurs au nord de mon seuil qui réchauffe les rêves de mon sommeil.
Aux étoiles de ma liberté assise au rocher de ma force je regarde la mort de mon temps qui coule dans les vagues de mon sang, sans reflets aux tissus de mon amour je reste seul sur la rive de mon ruisseau, au son des oiseaux qui chantent mon bonheur perdu sans ailes s’envolent le regard de mes yeux dans la vision des saisons, ou la pluie d’un tonnerre sans rage mouille la larme de mon désir.
Je m’endors seul dans la forêt de l’animal que je suis, sans bêtes pour y partager mon cœur qui trace la peine de ma route au sol de mon étoile.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin enr. Montréal, 2008-02-19 23 h 19 min
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POÉSIE: L’enfance qui dort Auteur Marc Cantin
L’enfance qui dort dans la sois des nuages, s’endort aux velours du sein de sa mère, ou rêves deviens terre de son père, dans le ciel qui sommeil son arc-en-ciel, ou forment les couleurs de ses désirs qui chantent aux chants des anges, qui caresses le fœtus de son nombril dans l’enveloppe de son corps qui vie aux courages des pluies, dans le plasma de sa montagne.
Sans racines de son écrit, sans terre aux crient de son cœur, il en perd la mémoire de ses feuilles. Ou volent ses saisons dans l’oubli de l’homme qui trace sans chemins à ses mains la solitude de la vision de son ombre, dans l’amour de son embryon, résonnent les sentiments de ses rires qui embrassent les lèvres de son Dieu.
Espoir des religions aux étoiles qui guide le hasard de ses vœux dans le mal de son bien, paroles naissent dans un texte aux frontières des pays des lunes, qui réchauffent le soleil de l’astre de sa naissance, sans chaleur a son écho de son temps, la galaxie devient heures a la leur de sa lumière, qui croitre dans l’atome de l’énergie, ou pleurent les sentiments de son âme.
Aux courants des eaux qui se glissent dans les rides de ses souvenirs se grave le rocher de l’animal, ou meurt le blé de ses récoltes sans jardin à son passé.
Dans l’air de son oxygène son gène devient odeur a sa culture qui cultive les larmes de l’amour perdu, sans verbes ou s’épanouit la vie d’une fleur aux sentis des parfums dans le flocon qui écume le cou de son baiser, pour devenir champs des jouissances de l’autrui qui s’entrelace dans les danses du bonheur de la fusion de deux être.
Au bronze dans l’or ses pas, l’emprunte qui en jambes la liberté de ses chaines, mouille la vierge de sa paix, dans un vœu ou ce croisent les routes dans le nord de son destin, à genoux aux pieds de sa planète nait la statue qui fixe la valeur de son verbe, aimer.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin Er. Montréal, 2008-02-10 4 h 29 min 21 s
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POÉSIE: Je suis l'ivresse d'une bouteille Auteur Marc Cantin
Je suis l'ivresse d'une bouteille perdue dans la rive de sa mer qui vague à l'illusion de son temps. Et la soif deviens solitude dans la profondeur des misères de ses tempêtes qui forme les pleures de la pluie de son cœur, aux tics tacs sans heures qui caresses l'âme de son sol dans les rochers de son passé, pierres deviennent froideurs dans le feu qui brûle le futur de son liège sans bouchons a l'ouverture de ses sentiments de sa chair.
Au nombril de son corps frissonne la peau de ses os qui arrache les artères de son cœur dans les échos de ses cries oubliés, aux textes des cavernes sans paroles qui deviennent muet dans les pages de son livre.
Au mur de ces graffitis, vieilli le dessin des innocents dans l'encre des rides de ses mains qui croisent les douleurs de l'histoire, sans leurs aux martyrs de sa mémoire si lourde aux souvenirs qui hantent les cauchemars dans l'ombre du diable au dos de sa fourche de son être qui soulève l'amertume du verre de son envie.
Dans la honte ou coule le sang de son senti aux nuits des étoiles qui gel les rêves de sa quête dans l'abri des sans-abris sans toit a la fenêtre de ses yeux aux regards des chemins de son emballage qui sans larmes au guide de son brouillard dans la vision de sa survie.
Sans habit a son étiquette au nu de sa rue, les jugements deviendront boulevard de l'autrui de sa table sans repas a l'esprit de son appétit aux vises de ses raisons qui en perdent la raison de ses maux.
Sans mots au moral de l'hiver sans neiges les saisons d'un été perdu a l'itinérance de ses rêves. Dans la couverture qui enveloppe le printemps des vents souffle l'autonome sans feuilles a la racine de son chagrin, ou sommeil la coupe de son courage au nord d'une direction sans boussole, perdu dans la console de ses désirs qui partage l'éveil de l'amitié a l'amour de la différence de son indifférence ou meurt le fruit de son pêcher qui angoisse sa vie sans écoute aux couleurs de son vin.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin enr. Montréal, 2008-02-25 13 h 12 min 42 s
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POÉSIE: Le désir d’aimer Auteur Marc Cantin
Le désir d’aimer c’est de sentir la naissance du temps qui décompose la parole de ton Dieu dans la Vierge de ton cœur aux champs de ta récolte qui semence l’enveloppe de ton ombre dans un jardin qui cultive la croix de ta faim, ou l’horizon vague à la mer des tempêtes au temps de la survie qui coule dans le sonar de ta profondeur aux sommeils de tes rêves dans une galaxie qui devient lumière de l’oxygène ton cœur, sans regard au ciel des jugements s’instillent les lunes dans l’astre de tes nuits aux étoiles qui envoutent l’esprit de ta jouissance dans la liberté qui s’en racine aux pas de ta route qui engrave le tatou de tes échos.
Dans la montagne de tes saisons ou coule la transfusion de ta penser de ton sang brule la chaleur de ton âme dans l’amour qui prend naissance aux verbes qui s’entrelacent dans la fusion d’un autre corps, ou sentiment ce berce dans l’esprit du bien-être de l’être humain pour y sentir le sol de l’enfant en soi aux rires du velours des lèvres qui embrassent le baiser de ton verbe dans la conjugaison de ton présent qui frisonne l’inconnu de ton atome aux vœux des étoiles qui ce glisse sur la douceur de ta chair qui s’épanouit sur la langue de ton être pour devenir pulsion de deux êtres, ou paix devient savoir au gout de ta terre dans un soleil qui en guide ta poésie pour lui dire merci de ton amour qui en partage ma vie.
Droit d’auteur composé par : © 2008 Marc Cantin enr. Montréal,
2008-02-22 7 h 12 min 35 s min
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