Temps des saisons, temps de l'oubli, temps du savoir

Temps de temps, aux vents des ignorances

Temps de temps, sans terre à mes galaxies sans air aux voyages de mon Être

Temps de temps aux écots des guerres, ou terre devient bombes de paix

Sans eau en gèlera le pain aux blés des fleurs

Qui en deviendra la nature de ses plats au jugement de son corps

Au jugement des sons, les gens en perdent leurs décibels de leurs avoirs

Les clones deviendront mariage d’union au double, de leurs je

Assis à la roche de mon fusil, où coule la vie de mon temps, perdue à l'allusion, de ces religions

J’y suis une étoile de ma naine sans rêves aux racines de mon atome

Nous serons gènes des cellules, sans évasions aux armes des temps futurs

Pixel aux miroirs des photos deviendra des développements aux reflets de leurs négatifs sans âmes perdues dans leurs atomes

Galaxie des lunes aux désirs d’êtres du futur deviendra vie sans fin

Seuils aux savoirs des savants deviendront le trou noir des pauvres aux bios gaz des crient oubliés sans zones à leurs satellites

Histoires aux chemins des larmes raisonneront les chœurs des oubliés dans l'écho de leurs croix du génome,

Aux chemins, des générations dans la survie, des GPS sans sel à leurs lèvres couleront les eaux des souvenirs

Aux pères perdus dans l’atmosphère voyagera l'écho des malheurs sans cellules à leurs libertés

Sans heures au tic tac du poker, déchirons les êtres du mal dans l’équilibre du bien aux juges sans lois des codes-barres, dans l'espace des gouvernements

Dans le pouvoir de l’argent sans or à leurs eaux, vagues les vents des éoliens sans souffles à Pythagore, brulera dans la nuit la formule de Einstein dans une étoile pour éclairer la route qui en cristal le savoir des chemins de l'homme qui deviendra esclave pour toujours du vouloir d’être libre dans l'oubli des sentiments ou coules les étoiles en larmes dans l'ombre des l’enfant des astres qui en perdent leurs destins aux photos des sourires sans âges aux mains de leurs grands-pères qui s'enveloppent dans les malheurs du bonheur aux pleures des bactéries que nous sommes meurt le cancer de mes hôtes à l’os de ma chaire, dans les solitudes des larmes les conjugaisons des livres tournent les pages aux sans mots des souvenirs des textes dans les écrits des cœurs, des mères sans frontières aux circuits des Nanos du savoir qui hypnose l'ADN a la merci de la bio culture en sera nourriture aux fleurs des mes plats d'une table sans repas a la racine de ces eaux, en seront cultures de ces douceurs pour apprécier la terre de son air au respect du je sans pouvoir à la richesse de son blé

Il voudra rêver d'être une étoile à un être avec des lèvres en forme du verbe aimé pour y laisser la jouissance qui entrelace la galaxie de son corps ou meurt la naine du verbe, aimé

Droit d’auteur Marc Cantin Montréal 2007-06-22 17 h 28 min 30 s

Recherche éditeur marccantin@videotron.ca 

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