Lunes aux nuits des temps assis aux ciels de tes vœux

Rêves aux étoiles des désirs aux crins sans échos à la liberté

Ou évolution de ta terre en deviens racine de mon être

Entre les montages de ton horizon, j’y partage le soleil de ta nature

Aux feuilles de tes vents qui caressent le corps humain de mon âme

J’y crie en douceur sans guerre avec la pauvreté de mon eau

J’ai la soif de te ton amour aux verbes de tes temps

Aux tempêtes des riches qui voyagent entre les galaxies

Je vois la bombe aux armes de mes soldats sans frontière à leurs cœurs

Aux oublies des émotions, j’y suis une fleur au parfum de la solitude

Sans chemins à mon destin, je prends un souffle au courage de mes pères

Pour ne pas oublier que je suis humain et je peux rêver a la paix de l’amour

© Droits d’auteur composé par Marc Cantin 2008-04-17 4 h 13 min 4 s

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Le Crie de mon cœur est si seul a mes souffrances que le mal en devient guerre de mon temps

Temps des saisons ou richesse des So des hommes en oublie mon être

Être de mon arbre aux fruits de la passion si seul au partage de ma table

Que le repas en devient amer sans vagues aux tempêtes de mon bateau

Bateau de mon avoir qui voyage aux saisons sans fleurs aux souvenirs de femmes

Femmes de mon désir sans échos à la montagne

Que richesse en perd la lune aux étoiles de mes vœux

Vœux de mon ombre je sens la mort venir me parler

Comme un ami sans mains pour mon lendemain au silence sans souvenir

Je consume mon temps à ma peau qui vieillit aux maux de mon sang

Sang qui coule à mon jour seul sans haine je regarde la lune aux étoiles de ma solitude

Solitude sans richesse que mes mots en or à la poésie en deviennent sans verbes

Eau de ma conjugaison de mon avoir je voudrais être le blé de ton champ

Chant de ta musique j’entends les paroles de ta jouissance aux nuits mes sommeils

Je m’endors aux frissons de ton nom sans argent je regarde le ciel pour en partager un ange

Anges sans corps où un jour je serais vie de toi a l’amour de ton temps

Pour écrire sur ta chair les mots de mes larmes qui coulent aux chutes de ta mer

À la fusion de ton atome, je serais à mon tour une étoile de paix

Sans peau à mes os pour ne plus souffrir du mal d’être aimé

Terre si pauvre que ton jardin en devient sans récoltes au gaz sans air à la liberté

Liberté des hommes a l’ignorance de sa jalousie sans en vie

Que Mars en deviendra son illusion de son futur aux échos des bombes

Aux armes de la noirceur au moi de mon temps je ne serais que poussière de ta galaxie

Sans faim je voudrais être nourriture du verbe aimé

© Droits d’auteur composé par Marc Cantin 2007-04-24 5 h 22 min 35 s

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Fleurs des champs aux eaux des dauphins qui vaguent aux parfums des formes

Deviennent histoire du vent au temps de la question?

Sans réponse à l’ignorance, deviens atome à l’apprenti de sa terre

Sans racines d’êtres, en sera air de cultures au futur sans poussière

Eau de l’ADN sciences aux fétus des clonages en sera cancers 

Aux gênes de la vie sans étoile à leurs cieux

Aux rêves du désir en sera mariages des clones aux prêtres du futur

Pauvres en seront que souvenirs aux oublies de leurs guerres

Riches sans cœurs a leurs diamants en sera futur a leurs communications du temps

Sans faim au crin du ventre pauvre, des pauvres en resteront riches à leurs cœurs

Aux pleurs des retrouvailles photo n’en deviendront que pixel aux choix des sentiments

Chemins des pères ne sera plus terre de bio, mais pilules aux  souffrances des sans mots

Vins des partages en sera bleu au verre des cent couleurs aux choix de ton doigt

Au nord de ta lune en sera direction du futur

Au clic de la mémoire en sera qu’illusionne de l’amour

Sans femmes en deviendront chefs à la galaxie de sa reine

 Dans la naissance du Christ aux Dieu des Saints seront douceur des rêves

Couleurs aux trous des gaz, meurt l’ours polaire de mon histoire

Sans rêves aux crins des hommes couleront aux Vienne de l’or noir

Aux eaux rares en sera cent levés

Ou soleil de leurs paysages meurs le cœur des souvenirs

Temps à la richesse des mains sans guerres aux livres de mes héros sans armes

Pleure aux feuilles sans histoires

 Au clic du futur en deviendras musiques au sourd de Mozart

Picasso peintre des clowns à l’avoir des banques en sera cultures a l’argent au sans amer

Cire du train au bois du Dalaï-lama resteras aux oiseaux les crient aux nids de leurs savoirs

Entre l’arme de la guerre et la balle du silence entre l’air du mal aux oublies des anges

Si verbe de respect pourrais être libre de paix

Je voudrais être sa terre à la richesse de sa culture

Ainsi, j’ai toujours une fleur pour offrir à la saison de mon cœur

© Avril2007 droits d’Auteur Marc Cantin 2007-04-24 10 h 21 min 5 s

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