Mes doigts dansent aux lettres qui en composent le texte de ma vie

Au hasard de ces pages tourne mon temps à la fin de mon destin

Aux ruisseaux de ma rive nage le reflet de ma mer

À l’ombre des étoiles sommeille mon cœur aux vœux d’être aimé

À l’être de mon enfant pleure l’arbre de mon âme

Au père de mon ciel, hante le regard de mes mains

Aux pluies, des acides brulent les souvenirs de ma racine

À la veine de mon art terre vieillie sens âmes ma récolte

Peau aux plis de ma chair frissonnes les pleures de la solitude

Sentiment sans échos aux bruits des sans vents prêts moi ta saison

Crient sans maux des douleurs gruge mes os a la conjugaison du verbe, aimer

L’encre de ma plume coule au toit de ton je sans fenêtre a l’horizon

Épanoui moi ton ciel que je sens le soleil de ton cœur

Perdu des poésies aux morts des écrits, en vois moi le fantôme de l’amour

Que je sente ton esprit traverser la rue du bonheur

À mon corps perdu assis aux  marches du désir

Pencher au seuil de ma tête, main ouverte à une rose fané

Prête-moi ton parfum, que je puisse y déposer une fleur à mon livre

Droit d’auteur composé Marc Cantin Er. 2007-08-25 23 h 40 min 10 s

P.-S. recherche éditeur si vous croyez j’ai du talent marccantin@videotron.ca

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Le pauvre est solitude à sa prison aux mots est sans échos aux maux du cœur

Si cellule est évasion ou corps devient libre d’histoires, il en sera pages de partages

Aux partages de l’humain en sera son chemin

À la passion de l’oublie sans désirs meurt l’âme de son corps aux froids des saisons

Le pauvre sera toujours libre si jugement deviens paix a l’écoute de son âme

Le pauvre sera toujours société de rues de son temps aux souvenirs de ses rêves

Le pauvre est sans justices aux lois du jugement, seul aux trottoirs des trous noirs

Le pauvre est riche aux étoiles sans nuits à la tristesse de sa lune

Le pauvre pleure eau cries de son cœur sans échos a la montagne de sa nature

Seul à mes verbes

Je voudrais être riche pour un instant, pour naître que mort de ton corps

Entrelacé sur ta peau aux frissons de ta jouissance

Écrire avec fautes de charmes mes poésies sans plumes aux doigts tus me guidera

Pour y graver sur ton cœur la richesse d’un pauvre à l’amour de ton respect

Ou liberté deviens de fusion en sera esprit de l’amour

Vagues, vagues à la mer de mon cœur

Aux rochers de mon île, j’ai le verbe Aimer à partager avec toute liberté

Je voudrais être les jours les nuits de ton corps pour y sentir la vie de tes désirs

Droit d’auteur composé par : © 2007 Marc Cantin Er.

Montréal, 2007-05-24 5 h 4 min 14 s

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Je crie sans heures à mes pleurs au sol de ma solitude

Ou poésies est évasion des vents a mes écrits.

Je seuil sans richesses aux silences de mes peurs, sans mer aux vagues de mon passé

Je suis malade à la solitude de mon corps qui en était Apollon de mon temps

Sans bien être aux rues des clochards aux courages d’une main de vie sans envie

Perdue à la peau ou chair devient nu aux nuits des froideurs

Qui en réchauffent les rêves du passé

Meurs aux feuilles à l’arbre qui en devient saisons de nature d’eau de chemins sans terre

Jeune a la richesse sans or aux Harley d’évasions en reste que désirs de son avoir

Tue l’ignorance de son diamant a la mine de son ambition en reste que chaine a son cou

Ciel aux nuits des désirs d’ombres aux velours de lune assis seuls avec mon cœur

Sans familles aux photos, brulez sans poussières le vent de ma force

Étoiles aux signes des vœux, naine entrelace moi à la danse de ta jouissance

Je meurs sans heures a mon temps et minute en devient chagrin a la seconde

Aux pleurs mes larmes en deviennent fleurs d’eau aux parfums de femmes

Droit d’auteur © composer par Marc Cantin Montréal 2007-05-25 2 h 56 min 7 s

Recherche éditeur marccantin@videotron.ca 

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Je suis un pas de la terre de sa route ou chemin devient âmes des sols

Aux racines des cultures en semences tiges des vents

Aux froids, des saisons combats de mort à la survie des émotions

Sans guerres aux rêves de ma paix, ou été de mon cœur en sera poésies

Aux nuits des désirs qui entrelacent l’humain sur lui-même

Sans le je de son atome il ne serait pas courant aux ruisseaux de sa mer

De son air qui en partage l’oxygène des galaxies

Ou étoiles en deviens recherche aux savoirs des physiciens

Des rêveurs en verront leurs vœux aux savoirs de l’ignorance

En sera itinérant des tes peurs a l’ombre du talon

Aux souliers de la mémoire en résonne l’autre de ton temps

Aux miroirs des peaux en deviennent parfum de paix

À la jouissance en sera que repas de partages de couleurs

D’une fleur naitra sentie au point g de la vie                      

Aux crins de la chair avec douceur le cœur en sera toujours rêves d’amour

Pour ne pas oublier ton sol, je creuse dans les Vienne de mon sang

Le rouge sans armes sans haines un écho d’homme seul a sa solitude

Roches graves aux échos des montagnes aux phares de ton Nord

Qu’amour en soi réalité de danse au cœur d’une femme

Être qui a juste besoin d’aimer sans possession à la liberté du senti

Je graverais ton merci à ma poésie

Je voudrais eau de ton corps pour y partager le frison de ta douceur

Femme tue me manque à la pauvreté de ma porte-feuilles

Sans voles mes saisons aux souvenirs de ton arbre en racinent ma fleur

Je meurs seul aux grains de ma terre

Et poussière de souhait soufflera mon cœur à ton esprit

Je t’attends a la mort de mon temps un jour tu en seras nuits

Je t’attends au déjeuner de mon repas

Je t’attends comme un sourd seul aux maux ma vielliesse

Reste jeunesse de mon cœur je t’attends au soldat de ma paix

Je serais chevalier de ton arme

Sans froideur aux levées des brumes nues tu en seras mains de mon corps

Pauvreté des riches tus me manque

Je donnerais une fleur d’or a ta mer pour juste y sentir une vague d’aimer

Seul aux temps sans malice simplement pauvre d’argent

Sur une terre de fourmis, j’en perds mon nid comme oiseau sans ailes aux guides sans familles

Pages les mois des écrits, un écrit seul a ses pleures que montagnes en perd son printemps

Gel aux manchons de l’hiver force de ton Iceberg froid qui partage pluies a l’automne du senti

Je voudrais bête d’animal, mais je suis homme de paix aux pleures des gens heureux

Sans verbes de mon être, je suis seul à la paume de ma main

Sans caresses à la fenêtre de mon seuil je dors au nom de ton cœur

Femme aux désirs de mon je,

Si tu je voudrais être ton vous, pour y former un nous sommes au ils de nous deux

Fleurs reviennent moi aux vents de tes saisons que je sente le parfum de ton amour

Assis j’écoute le pas de mon destin sans routes à mon bonheur

Mais dans l’espoir de mon cœur, j’y vois un chemin aux pas de mon écho

Droit d’auteur composer par Marc Cantin Montréal 2008-04-17 4 h 26 min 49 s Recherche éditeur marccantin@videotron.ca 

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